Jeudi 2 juillet 2009 à 1:19

Je peux tout te dire, tout. Tout ce que tu sais, tout ce que tu sens, je peux l'expliquer, lui donner une cause, un but, et une fin. Je te connais, car tu es semblable à une femme que j'ai rencontré, et qui m'a aimé, comme tu m'aimes, comme toutes les autres m'ont aimé. Ni plus ni moins, tu es, une femme. Je n'ai pas perdu tout espoir en l'homme, mais de femmes en femmes, mon admiration s'est très vite transformée en dégoût, puis en cette sympathie que l'on éprouve vis à vis des êtres faibles que sont les animaux domestiques.

"Si le meilleur ami de l'homme reste le chien, il n'y a aucun doute là-dessus, son meilleur ennemi est la femme. "

J'ai toujours donné raison aux bourgeoises et aux femmes de milliardaires: se vanter et jouir d'une richesse, même si elle n'est pas la leur, possède cet aspect concret de domination. Elles peuvent profiter comme bon leur semble de leur vie, se payer tout ce qu'elles désirent, et leur sujet de prétention est indéniable. Surtout lorsqu'on le compare à celui de ces souillons, ces gamines de cours d'école qui revendiquent et brandissent leur intelligence, leur savoir, comme une arme absolue et imposante, qui se révèle être finalement cet artifice purement féminin derrière lequel se cachent la niaiserie, le manque de raison, et la féminité. Elles ne sont pas plus douées d'intelligence ou de savoir que peut l'être un enfant à qui on fait apprendre par coeur sa leçon. Leur accorder la liberté ne suffit plus, elles en usent, et en jouent, en glapissant le soir devant la porte pour sortir entre amies, car les meutes font toujours le meilleur effet. Je ne pourrais jamais croire une femme, comme je ne pourrais jamais lui accorder un quelconque crédit ou une simple admiration purement objective, et ce sans machisme aucun. Je ne suis pas de ces chiens, de ces bâtards perdus, sans but et sans croyance, qui planent sur le monde, prônant une domination physique sur les femmes, autant qu'intellectuelle. En m'adressant à eux, je leur dirais que nous ne sommes plus à l'âge de pierre, et l'animal qui peut encore sommeiller en nous ne doit être réveillé uniquement lors de nuit de beuveries, ou d'adultères.


A en a marre d'écrire.

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